Clients et startups sont invités à partager une soirée sur le yacht Joséphine pour une balade sur la Seine. L’occasion de tisser des liens forts, échanger sur les problématiques business de demain et déguster des vins des domaines Devillard. Le tout sous un soleil radieux.Mais surtout d’un pitch de chacun des acteurs de cet écosystème, montrant différents aspects importants du digital :Du côté vidéo avec Vidmizer qui propose des solutions pour développer le business par la vidéo grâce à une plateforme permettant de centraliser, gérer et poster ces vidéos sur différents sources de trafic à la fois.Le dernier kilomètre de la data apporté par la business analyste virtuelle Alphalyr et pitché par Constance Rietzler, directrice Marketing et associée : “On développe aujourd’hui un produit qui permet de donner les informations web aux magasins.”Mazberry parlant de son acquisition de Merchandising.io comme une superbe opportunité de pouvoir aider les entreprises à impacter leur customer journey non seulement sur la partie budget média, mais en allant plus loin dans la partie merchandising et physique.Sonia Mamin expliquant YReceipts qui permet de récupérer les données par le biais du ticket de caisse dématérialisé, mais aussi aujourd’hui de pouvoir faire la passerelle entre l’offline et l’online, notamment grâce à un partenariat avec des acteurs importants dans les logiciels de caisse.Guillaume Thibaux, co-fondateur de Quanta parlant de l'importance de la web performance et la success story de cette solution qui équipe aujourd’hui plus de 450 clients.Finalement, du côté des réseaux sociaux, Didier Fredenucci expliquant fièrement le résultat de l’étude Forrester pour Facelift, première plateforme de pilotage des réseaux sociaux en Europe : “On est très heureux, c’est vraiment le fruit d'énormément de boulot passé avec les équipes techniques à côté des clients. C’est la preuve de rentrer dans le top 5 mondial, la preuve qu’on a bien fait notre boulot auprès du marché et du côté technique proposer une plateforme vraiment complète à nos clients.”

Btwinz Connect

Outre ces différents pitchs, Bertrand et Didier Fredenucci ont profité de l’occasion pour nous expliquer la théorie du jeu, assimilée comme la singularité de Btwinz :“Un jour, on voit cet article qui décrit deux types de jeu : les jeux finis. Des joueurs connus (comme une équipe de foot), il y a des règles connus par tout le monde et tout le monde est d’accord si l’on gagne ou l’on perd.C’est le type de jeu que tout le monde connaît. Et puis il y a les jeux infinis. Les joueurs ne sont pas bien déterminés. Il y a des joueurs connus et des joueurs inconnus. Les règles changent tout le temps, et surtout l’objectif des joueurs n’est pas de gagner ou perdre, mais de continuer le jeu.”

Btwinz Connect

C’est ensuite que Bertrand, CEO d’Alphalyr s’exclame : “Et quand on regarde, nous, on est des joueurs infinis dans la famille !”“On a des joueurs connus que l’on connaissait déjà, mais aussi des joueurs inconnus. Vous tous ici que l’on ne connaît pas forcément. Ce sont des joueurs qui varient. Les règles changent tout le temps. On redéfinit le marché. On redéfinit ce que l’on fait. On redéfinit nos relations. Il n’y a pas de règle définie et surtout, on n’a pas d’objectif. Notre seul objectif est de continuer à jouer.”On comprend pourquoi les frères Fredenucci développent aujourd’hui Btwinz non seulement avec un premier tamis de valeurs avant celui du business, mais aussi avec le fait de ne pas se fixer d’objectif pour tomber dans ce jeu fini. “Le bon produit, au bon moment pour les bonnes personnes, il n'y a queça qui doit nous animer!”Pour comprendre un peu plus l’ambiance du Btwinz Connect, je vous invite à visionner notre vidéo ci-dessous :

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